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L’ŒIL VAGABOND
Je vais souvent dans ces deux parcs, plutôt en semaine, quand la fréquentation ne perturbe pas le calme et la sérénité de ces lieux.
C'est un moment pour faire le point, pour voir les choses autrement, pour faire le vide.
Je voulais rendre cela perceptible dans mes photographies : la forte présence de la nature et, en même temps, sa vision brouillée, distanciée, parce que l'esprit vagabonde.
Il m'a semblé que l'image mal définie du sténopé pouvait rendre cette impression, comme quand le brouillard noie le contour des choses, la couleur brune du tirage Vandyke confortant l'évasion du réel.










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